Reprendre les bonnes habitudes…

…d’écriture. C’est assez amusant de constater que j’ai commencé mon blogspot.dreamsandmoods.be en 2011. En 2014, j’ouvrais celui-ci, en ayant des grandes ambitions littéraires. Au bout du compte, je me rends compte que je n’ai jamais terminé mes articles sur les voyages à Madagascar, rien écrit sur mes autres escapades, fait peu d’articles de politiques, etc. Par contre, il me sert vraiment bien pour mes différentes versions de Linux. Bref, ce n’est pas fameux, mais c’est juste moi, simplement moi.

Pourtant, cette envie d’écrire me démange les doigts. J’en ai des choses à raconter. Probablement des trucs dont tout le monde se fout, mais ce n’est pas mon soucis principal. Aujourd’hui, j’aimerais bien écrire mon deuxième roman. J’ai le titre, l’histoire, l’envie… mais pas du tout le rythme de l’écriture. Un petit peu le syndrôme de l’étudiant qui doit s’y mettre. Qui savait que le rat-taupe vivait est un mammifère qui ressemble à une b***, qui vit en colonie comme les fourmis ou les abeilles, que les mâles qui passent leurs journées à copuler avec la reine finissent par mourir de fin?

L’étudiant en blocus sait ce genre de chose et tant d’autres. Son kot est rangé, son café est servi, son ordi est propre… Oh, mais saviez vous qu’il existe un jeu qui dont le but est de trouver le chemin hypertexte le plus court entre deux articles wikipedia pris totalement au hasard? Qu’il y a une toute nouvelle série à regarder sur Netflix? Saviez-vous que…? Oui, c’est bien le soucis que j’ai. J’ai presque 50 balais, je n’ai pas le soucis de la page blanche, non, je suis un glandeur professionnel. Je pense à avoir atteint un niveau suffissant que pour pouvoir donner des cours. « Non, mais, lire des articles Wikipédia, ce n’est pas glander, c’est s’instruire. »

Évidemment, lorsque l’on revient à ses souvenirs d’étudiant, on pense à la guindaille. Cette fois, je ne parle pas des bières qui coulent à flot, mais plutôt de toutes ces chansons ou textes humoristiques qui accompagnents les dites bières. C’est ainsi que je suis retombé sur les aventures de Brandon, le Wallon et je ris encore des tournures de phrases que j’avais inventées dans son aventure Brandon, la Saumure.

Cela n’a pas découragé notre futur prix nobel d’économie souterraine qu’est notre Brandon. Il a vite fait les calculs. À 25 euros la gâterie buccale, avec 10 clients par jour et deux jours de congés légaux, elle pourrait gagner 1250€ par semaine, un petit 5000€ mensuel. Donc, il pourrait légitimement lui louer le débarras à 2000€ par mois.

Nicolas Boucher (évidemment)

Cette fois, je me suis perdu à relire des autres textes que j’avais écrit. En fait, c’est probablement à ça que me sert mon blog. Relire des conneries et me rendre compte qu’elles me font toujours autant rire. En espérant, cher lecteur, qu’elles te font rire aussi. Au moins sourire. Pour rester dans le drôle particulièrement comique, je me rends compte en souriant que ce n’était même pas difficile de m’y remettre. Après tout, ce n’est qu’un blog confidentiel. Cela tombe, je suis le seul lecteur. Si je me fais rire tout seul, je peux considérer que « 100% des lecteurs ont ri ». Le but est atteint, comme la tarte1.

  1. J’ai piqué cette vanne à Philippe Geluck, oui []

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